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AND I'M CRAZY BUT YOU LIKE IT. pv kyrian.

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eleanor charleston
eleanor charleston

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blackbundee.
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AND I'M CRAZY BUT YOU LIKE IT. pv kyrian.  Vide
MessageSujet: AND I'M CRAZY BUT YOU LIKE IT. pv kyrian. AND I'M CRAZY BUT YOU LIKE IT. pv kyrian.  EmptyVen 31 Déc - 15:43

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✎ KYRIAN & ELEANOR.
and I'm crazy but you like it !


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J'avais passé toute mon après-midi au gymnase avec Miloé et Pepper, comme nous le faisions si souvent. J'avais travaillé mes pointes très gracieusement, si bien que mon professeur en était ravi. J'envisage plus tard de partir d'ici pour m'inscrire dans une école d'art prestigieuse d'Angleterre. Enfin, ce n'est qu'un projet mais j'aimerais tant que mon vœu se réalise. Après deux heures d'efforts intensifs, je m'arrêtai net pour admirer mes deux amies qui faisaient un peu de tout. Je bus une gorgée d'eau puis fis la bise à mon professeur. C'est une femme non pas très âgée, la trentaine qui je dois l'avouer est très douée. Je rêve de lui ressembler un jour. Elle est généreuse, pleine de vie et a trois beaux enfants aussi talentueux qu'elle. Je l'envie, presque. « A demain. » lui dis-je en souriant. Je pris mon sac que je glissai sur mon épaule. J'étais fatiguée, si je pouvais, je m'écroulerai à terre pour faire un petit somme. « Les filles, j'en peux plus. Je pars, à plus ! » Elles hochèrent la tête en me faisant un signe. Je me rendis aux vestiaires pour prendre une douchette, je voulais en profiter pour me laver les cheveux et pour me rafraîchir. Je le méritais bien après toutes ces heures de travail. Ça ne paraît pas mais la danse classique est un sport - non une passion fatiguant, difficile mais si magique. Lorsque je danse, j'ai l'impression d'appartenir à un autre monde, cela permet de m'évader un peu. Après m'être douchée, j'enfilai une robe blanche, bouclai mes cheveux et sortis à l'extérieur. J'en profitai pour manger un petit casse-croute que j'avais emporté au cas où la faim me tenaillerait. J'aperçus un jeune homme que j'avais rencontré à ma soirée d'anniversaire. Pepper avait invité quasiment tous les jeunes du village, nous étions presque une centaine. C'était magique. Nous avions bus un verre ensemble et il m'avait parlé de son ex-petite copine qui l'avait quitté pour je ne sais plus qu'elle raison. Je me souvenais juste que cela m'avait terriblement saoulé et je faisais sembler de m'y intéresser, j'étais plus occupée à admirer son visage qu'à l'écouter. N'empêche, il était pas si mal que ça. Je m'approchai de lui pour lui faire la bise. « Coucou, tu te souviens de moi j'espère ? » lui dis-je en esquissant mon plus joli sourire charmeur. Il me dévisageait de la tête au pied. Ne me reconnaissait-il pas ? Pourtant un visage comme le mien, ça ne s'oublie pas de sitôt. Un sourire éclaira soudainement son visage. « Ah oui, Eleanor c'est ça ? » Il me fit la bise, ce qui n'était pas pour me déplaire. Qu'il était beau avec ses jolis yeux marrons. Sa voix si douce et si charmante. « Bingo mon chou. Qu'est-ce qui t'amènes ici ? » Quelle question de fou ! Il faisait sûrement du sport, voyons. A en voir ses muscles, il doit s'entraîner dur certainement. « Je savais que je te trouverais ici, ma belle. » Il posa sa main douce sur mes cheveux encore un peu humides. Il fait fort, lui. Je repoussai brutalement sa main, il en était tout retourné et déçu de ma réaction. « Si tu veux te consoler de ta rupture, ce ne sera pas avec moi, p'tit con, va. » Il avait l'air si mal à l'aise, c'était étrange. Il remit son blouson en cuir et se colla à moi. « D'après mes nombreuses sources, on m'a dit que tu étais une fille facile. Ça n'a pas l'air. » Il me dégoûtait tellement. Moi, une fille facile ? Qu'il aille se faire voir. Je couche avec qui je veux et certainement pas avec des salopards de son genre. Je ne suis pas prête de le revoir de sitôt celui-là. Il faisait son malin mais je savais que dans le fond, il était déçu de ne m'avoir pas mise dans son lit ce soir. Tant pis pour lui. Je saisis mon portable et mes écouteurs et il me vint une idée à l'esprit. Je fouillai dans les contacts de mon portable pour trouver une personne qui aurait pu passer la soirée en ma compagnie. Je ne voulais pas être seule ce soir, du moins, j'avais envi de sortir un peu, prendre l'air et m'amuser. Je tombais sur de vagues connaissances, des amis sans importance, des gens que je ne pouvais pas supporter et il y avait Kyrian. Il m'avait profondément touché lorsqu'il m'a raconté sous le coup de la colère, son histoire et sa maladie. J'en étais toute retournée, j'en étais abasourdie. J'avais fait ma peste, mon hypocrite, je voulais me faire quelqu'un cette soirée là. C'était comme enfoncer un pieu dans le cœur, je compatissais avec lui. Je me sentais mal de lui avoir fait ça. J'ai appris récemment qu'il était fou d'amour pour la jolie Athéna. Que je la déteste cette fille. Après ce terrible épisode, nous continuons à nous voir assez régulièrement. On a couché ensemble ... une fois. Athéna n'ai pas au courant, bien évidemment. Il ne peut plus se passer de moi on dirait, comme moi je ne peux me passer de lui. C'est l'une des seules personnes avec laquelle je peux dévoiler tout, enlever mon masque et être franche. Il est merveilleux, ce gars. Je composai son numéro pour lui demander s'il ne voulait pas passer la soirée avec moi. Il me manquait terriblement. « Allo ? » « Kyrian, c'est Eleanor. » « Qu'est-ce qu'il y a ? » « Je m'ennuie de toi, tu me manques Kyrian ! »« Rendez-vous à Bourgeoisie&cie, j'y serais dans une dizaine de minutes. » « Super. A tout de suite. »
Je pris ma voiture pour me rendre à Bourgeoisie&cie, c'était là où nous nous étions rencontrés pour la première fois.

Arrivée à destination après quinze bonnes minutes, je pris mon sac, me refit une beauté en utilisant le rétroviseur de la voiture et sortit de cette dernière. Je pouvais apercevoir au loin Kyrian qui avait l'air de m'attendre impatiemment à l'extérieur. Je me dirigeai vers lui et lui fit rapidement la bise tout en prenant garde de ne pas effleurer ses lèvres. « Je ne peux plus me passer de toi, on dirait. » lui dis-je, toute excitée à l'idée de pouvoir passer une belle soirée avec lui.
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MessageSujet: Re: AND I'M CRAZY BUT YOU LIKE IT. pv kyrian. AND I'M CRAZY BUT YOU LIKE IT. pv kyrian.  EmptyVen 31 Déc - 20:13


« And I'm crazy but you like it ! »

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« Maintenant, attrapes le stylo. » Kyrian regarda l'objet en question. Posé sur le bureau du médecin, il était placé à cet endroit exprès pour lui. Avant l'arrivée de son patient, Milo Anderson faisait toujours attention à bien positionner toutes les petites choses qui allaient servir aux exercices du jeune homme. Il prenait soin de lui comme son propre fils. Hé oui, depuis le temps, il s'était attaché à lui. Il se souvenait encore du premier jour où il l'avait rencontré. La mère de Kyrian était stressée à un point inimaginable, l'adolescent, lui, âgé de seize ans à l'époque, ne faisait que fixer le mur devant lui. Il n'avait pas ouvert la bouche pendant toute la séance. Même lors de la rééducation, il s'était laissé faire en exécutant tout ce qu'on lui avait dit de faire. « Tu l'attrapes et tu le reposes à l'endroit où il était posé. » Le français s'exécuta, lentement, il approcha sa main vers l'objet. Comme le pensaient toutes les personnes présentes dans la pièce, quand il voulut attraper le stylo, il n'y réussit pas du premier coup. Toujours à côté. Cela s'aggravait de plus en plus. Quand il réussit finalement à s'en emparer, il l'emmena à lui. De la même façon, il le reposa, mais évidemment, pas à sa place initiale. Juliette Fields soupira. À chaque fois qu'elle venait ici, elle avait l'impression que l'état de son enfant s'aggravait de plus en plus. Cette idée ne faisait que la terrifier. Et si demain, il n'était même plus capable de marcher ? Rien que d'y penser lui donnait envie de pleurer. « Bon ... Nous en avons terminé pour aujourd'hui. Je vais te prescrire de nouveaux médicaments et des séances de rééducations en plus. Tu es d'accord ? » Le jeune homme hocha la tête pour approuver ce que venait de lui dire le spécialiste. Après avoir écrit sur une feuille, il tendit celle-ci à Juliette. L’homme se leva, de son siège, Kyrian, en fit de même. En revanche, la mère de celui-ci ne bougea pas. « Docteur … S’il vous plait … Pouvez-vous dire à mon fils qu’il serait plus prudent d’utiliser le fauteuil roulant. » L’intéressé jeta un regard meurtrier à sa génitrice. Voilà qu’elle remettait ça sur le tapi une énième fois. Elle était aussi têtue que son fils, quand elle avait une idée en tête, elle s’acharnait jusqu’à arriver à ses fins. Mais voilà, ici, ils pensaient chacun le contraire. Sans attendre une seconde de plus, le brun sortit de la salle sans regarder sa mère. La femme souffla encore une fois. Elle avait tout essayé, mais ça se finissait toujours de la même manière. « Au revoir docteur, dit-elle en se relevant et sortant du cabinet. »

Dans les couloirs de l’hôpital, Juliette et Kyrian ne s’échangèrent aucune parole. C’est à peine s’ils se regardèrent. Ce n’est qu’une fois dans la voiture, que la blonde traita son fils d’idiot. Il était complètement inconscient d’avoir un tel comportement. Il ne faisait qu’aggraver les choses en s’acharnant de la sorte. « Kyrian je … » « Non, coupa-t-il en regardant par la fenêtre, c’est non. » « Je suis désolée. » Ça aurait été trop beau si elle prononçait ces paroles. Elle ne le ferait pas, ni lui. Ils étaient trop ancrés dans leurs idées pour ça. Elle démarra enfin la voiture en faisant le vide dans son esprit. Le calme régnait dans le véhicule, aucun des deux ne voulaient engager la conversation, surtout pour que ça finisse en dispute encore une fois. C’est à cet instant que le téléphone portable du jeune homme se mit à sonner. La musique raisonna dans la voiture pendant quelques secondes, le temps qu’il se souvienne où il l’avait mis. « Allo ? » « Kyrian, c'est Eleanor. » « Qu'est-ce qu'il y a ? » « Je m'ennuie de toi, tu me manques Kyrian ! »« Rendez-vous à Bourgeoisie&cie, j'y serais dans une dizaine de minutes. » « Super. A tout de suite. » Sauvé. Eleanor était devenue depuis quelques temps, une personne extrêmement précieuse pour lui. Ça n’avait pas bien commencé entre les deux pourtant. Sous le coup de la colère, il lui avait craché à la figure sa maladie pour qu’elle le laisse tranquille. Pourtant, aujourd’hui, ils se parlaient toujours. Il y avait même eu plus qu’une simple étreinte par le passé, mais ça, il n’en avait parlé à personne. Après dix minutes de trajet en voiture, Kyrian prononça enfin une phrase à l’intention de sa mère. « Arrêtes la voiture. » Juliette s’exécuta sans rien dire. « Qui est-ce ? Demanda-t-elle en regardant son fils sortir de la voiture. » Lui, ne répondit rien, il se contenta juste de fermer la voiture.

Une fois arrivé devant Bourgeoisie&cie, il se planta devant, attendant avec impatience Eleanor. La soirée promettait d’être bonne, il n’y avait pas de raison qu’elle soit mauvaise, surtout en compagnie de la demoiselle. Elle avait le don de lui redonner le sourire. C’est peut-être pour cette raison qu’il tenait autant à elle. Il est clair qu’il n’aurait jamais pensé se retrouver ici la première fois qu’il l’avait rencontré. Comme quoi, il ne faut pas se fier aux apparences. Dès qu’il aperçut la voiture de son amie, un sourire apparu sur les lèvres de Kyrian. Une fois sortie de l’automobile, elle se dirigea directement vers lui. Elle lui fit rapidement la bise pour le saluer et dit : « Je ne peux plus me passer de toi, on dirait. » En souriant, le jeune homme lui tendit le bras qu’elle saisit. « Mais c’est une très bonne chose mademoiselle Sumsang. » Tous deux rentrèrent dans la bâtisse et s’installèrent à une table vide. Pour une fois, il n’y avait pas grand monde, mais cela n’empêchait pas qu’il y ait quand même un petit bruit de fond, heureusement, il pouvait passer facilement inaperçu. « Tu as passé une bonne journée ? »

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MessageSujet: Re: AND I'M CRAZY BUT YOU LIKE IT. pv kyrian. AND I'M CRAZY BUT YOU LIKE IT. pv kyrian.  EmptySam 15 Jan - 14:19

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Kyrian était fou, totalement fou d'avoir accepter de passer cette soirée avec moi. Il le sait mais il s'en contre-fiche. Il est conscient que traîner avec moi pourrait le faire craquer de nouveau même si je ne demande que ça. Nos petits appels quotidiens ne me suffisaient guère, il fallait que le je voie en chair et en os. Finalement, que dirait Athéna ? Cette petite peste inccorigible avec qui je ne m'entends pas ? Nous sommes bien trop différentes. Je me demande sincèrement comment il peut aimer une fille pareil, je suis bien mieux. Enfin, je crois. C'est le seul garçon que je ne considère pas comme un jouet car oui, je m'amuse souvent avec les hommes et cela me distrait. Mais avec Kyrian, c'est totalement différent, je ne sais pas pourquoi, c'est étrange mais je ne me pose pas plus de questions. Je l'aime bien et c'est tout. Lorsque je le vois, mon visage s'illumine de bonheur et de joie. C'est indescriptible. Il m'apaise, me fait souvent rire et j'aime être en sa compagnie. Il est tellement charmant. Être au courant de sa maladie qui peut se réveiller à tout moment ? Cela ne me dérange absolument pas, je veux qu'il soit fort, je veux qu'il guérisse même si je sais qu'il n'existe aucun réel traitement pour ça. C'est dommage, un si beau et gentil garçon. Il ne mérite pas ça, c'est totalement absurde ! Je pense que je pourrais donner des millions pour avancer la recherche, le perdre serait comment dire horrible. Je ne pourrais supporter qu'un être cher à mes yeux perde la vie sous pretexte qu'une putain de maladie l'a emporté.

J'esquissai un large sourire qu'il me rendit immédiatement et me tendit son bras que je saisis bien évidemment. Son parfum habituel flottait délicieusement dans mes narines. Dans ses bras, je me sentais un peu en sécurité. Il faisait à peine cinq degrès, j'étais glacée. Pourtant, je ne voulais au combien jamais enfiler un gilet en laine - je détestais la laine de toute manière, ça me donne des frissons. Oui, je suis étrange mais j'assume. Je passai ma main dans mes cheveux bouclés en le regardant. « Mais c’est une très bonne chose mademoiselle Sumsang. » De belles paroles ! C'était drôle car il m'appellait souvent Mademoiselle pour m'embêter car il sait bien que je n'aime pas que l'on me surnomme de la sorte. Eleanor, ça suffit, non ? « Tu m'as manqué, tu sais ? On devrait pas ce voir ... Que dirait Athé .. » lui répondis-je, gênée. Je ne voulais pas terminer ma phrase, cela allait tout simplement ruiner cette soirée si bien commencée. Qu'est-ce que je venais de dire là ? Passer du bon temps avec " un ami ", ce n'est pas illégal ! Il ne se passait pas un jour sans que j'ai une petite pensée pour lui. A ses côtés, j'ai l'impression de retrouver la Eleanor d'antan, franche, sociable et confidente. Même s'il ne me fera pas changer complètement. Nous rentrâmes dans la bâtisse, un sourire pendant aux lèvres. « Tu trouves ? Même si nous savons tout deux que ce n'est pas raisonnable ... » Qu'est-ce que je venais de dire là ? J'avais l'impression de tout gâcher, de tout mettre sur le tapis. Je m'en fichais finalement, je voulais juste passer du bon temps avec l'un des plus beaux garçons de Bundee. Nous nous dirigeâmes vers l'entrée de la bâtisse, je ne pouvais cesser de le regarder droit dans les yeux. Nous nous installâmes sur une table isolée à l'intérieur. On s'installa sur une table vide pour deux personnes. Cette dernière était garnie de belles roses de toutes les couleurs, de fines bougies posées sur un socle rose et d'un menu au milieu. Par chance, il n'y avait pas grand monde, juste deux tourtereaux qui ne pouvaient cesser de s'embrasser et quatre autres personnes qui dînaient tranquillement. On allait pouvoir passer une bonne soirée. Je déposai mon sac et mon blouson en cuir sur la chaise qui se trouvait devant moi et m'assieds dessus. Quelle ambiance ! Bourgeoisie&cie faisait preuve de beaucoup de romantisme dans ses compositions florales et l'ambiance qui régnait était calme et parfaite pour discuter. Il était très fréquenté mais pas ce soir-là, une réelle chance. Le monde finirait par arriver de toute façon. Les samedis, c'est bondé et Kyrian sait bien que je suis agoraphobe. Il s'assieds à son tour. Nous nous fixâmes longuement et rompit ces échanges en entamant enfin la conversation. « Tu as passé une bonne journée ? » Je fis signe au serveur qui avait l'air de s'ennuyer dans son coin pour commander quelques boissons. « On ne peut plus fatigante. J'ai fait de la danse quasiment toute la journée, c'était génial mais à force, c'est crevant mais ce qui compte, c'est qu'elle se termine en beauté monsieur fields. Et vous ? » lui répondis-je en ricanant.
La serveuse coiffée d'un chignon parfait et vêtue d'une petite robette blanche et rouge s'avança, un petit carnet de notes à la main et s'arrêta tout juste devant notre table et nous demanda ce que nous voulons commander. « Pour moi ce sera une coupe de champagne et toi mon chou ? Ramenez une petite corbeille gourmandise en supplément s'il vous plait. Qu'est-ce qu'une corbeille gourmandise ? Et bien c'est un petit panier remplie de babioles en tout genre à l'intérieur et à l'extérieur des biscuits apéritifs ainsi que des fruits comme des pommes, des raisins. Il y avait un peu de tout et c'était la spécialité de la maison.

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